Author name: admin9650

Sans dormir … et puis s’endormir

L’appel du lit ne résonne pas en vous ? Aller se coucher est compliqué ! Peu d’heures de sommeil et de mauvaise qualité.  Fatigue, mauvaise humeur, troubles de l’attention … et tout est lourd. Il existe des solutions. Parce que nous sommes uniques, un programme adapté à chacun(e) est nécessaire, avec un large panel de techniques et de disciplines pour pouvoir sélectionner les plus appropriées. En 4 séances, je vous propose de comprendre et de reprogrammer votre sommeil. Les nuits sont les moments indispensables à la santé de notre cerveau et de notre corps: entretien et réparation. Hormis le confort d’une bonne nuit de repos, les différentes phases du sommeil ( lent léger, lent profond et paradoxal ) sont nécessaires au maintien d’une bonne santé physique comme morale. 4 séances et bonnes nuits. Faites passer, ça fait du bien ! 😉 en présentiel ou par visioconférence thierrymarchandhypnose.fr

Qu’est ce que le syndrome de l’imposteur?

Je me sens illégitime, incompétent(e), souvent inférieur(e) aux autres. J’ai l’impression que je ne pas suffisamment par manque d’études ou d’expérience. Je peux être un(e employé(e), un(e) directeur(trice) mais aussi une mère ou un père dans son rôle de parent face à son enfant. Les autres ont l’air à l’aise, ils ne se posent pas toutes ces questions. Je traîne ce complexe et pourtant paradoxalement il y a des domaines où je peux me sentir fort(e). Le syndrome de l’imposteur est lié à une difficulté à l’auto-évaluation. L’estime de soi déficiente On peut parler d’estime de soi déficiente. Les déclencheurs sont multiples mais c’est souvent un regard, une estimation provenant d’une autorité qui a créer le doute sur ce que j’ai fait. La procrastination ou le perfectionnisme sont une réponse au syndrome, du trop au pas assez, il va falloir recalibrer les repères pour mieux apprécier, pour mieux s’apprécier. Une étude a montré que 85% des Anglais ( 70% en France )avaient connu ou connaîtront ce syndrome dans leur vie. Avec le temps ou avec de l’aide, les effets ont tendance à s’atténuer et même disparaître. Faites passer, ça fait du bien 😉 ! Et n’oubliez pas de choisir de vivre! Plus d’articles sur: thierrymarchandhypnose.fr

Choisir de vivre

C’est un accident, c’est un deuil, c’est un traumatisme qui percute une vie. Il y avait un avant, quand et que sera l’après ? Comprendre pourquoi c’est arrivé n’est pas toujours possible et quand bien même qu’est-ce que ça change au présent ? L’événement traumatique est inscrit en nous, il fait à présent parti de notre réflexion, de notre comportement et impose de nouvelles limites.  Il n’existe pas de thérapie permettant une amnésie, une remise à zéro mais des stratégies, des méthodes pour permettre une résilience dans certains cas. Comme lors d’un deuil l’incompréhension, la colère et le déni sont des états que l’on traverse. Ces réactions nous permettent de continuer… agir malgré ce changement terrible. Puis espérer une guérison… le mot n’est pas adapté. Une cicatrisation ? Non plus. Dans de nombreux témoignages c’est l’acceptation qui a déterminé la reconstruction. Accepter la fatalité d’un hasard, d’une injustice sans compensation possible ou équivalente pour continuer. Accepter le futur pour laisser le passé jusqu’à … choisir de vivre. Un livre que je vous conseille pour terminer: Patients de Grand corps malade. Faites passer, ça fait du bien 😉 ! Plus d’articles sur : thierrymarchandhypnose.fr

Je pense donc je suis.

Locution latine reprise par Descartes. Peut-on être sans penser ? Et si on essayait ? Dans quelques instants, après ces quelques lignes, faire le simple geste de se détourner de l’écran avec l’intention de poser les yeux sur la première chose qui accroche le regard comme ça, sans raison. Et puis… rien. Laisser faire , contempler, juste quelques secondes pour rien. Une pause sans notifications, sans projections, sans enjeux. Le moment présent Être là. Juste un moment où le cerveau pense à lui. Pendant cette poignée de secondes les tensions n’ont plus d’appui, les problèmes patientent et un sourire naît. Le corps est détendu au diapason de l’esprit. On ne sent rien, on se sent bien. On sait bien que cela ne va pas durer mais là on s’étonne des sensations. Ça paraît si simple. On se rend compte que tout ralentit, les idées, la respiration, la vie autour de nous. Quand on va reprendre son activité, on va s’apercevoir que ces quelques secondes ont paru beaucoup plus longues, comme un repos bénéfique. On peut jouer dans la journée à être sans penser, faire des apnées mentales, des siestes éveillées. Et comme tous les apprentissages, plus on le fait et plus c’est facile et efficace. Faites passer, ça fait du bien 😉 ! Un livre que je vous conseille Foutez-vous la paix ! de Fabrice Midal. Ce livre et extrêmement libérateur et déculpabilisant. Je vous invite vivement à le lire.

Et la volonté dans tout ça ?

En avoir… ou pas ! Mais c’est quoi en fait ? Beaucoup de définitions mais rien de scientifique. Pour être franc, on ne sait pas trop. C’est plus un concept qu’une faculté. Il reste néanmoins l’idée qu’on en a, ou qu’on en manque. Volonté, motivation, pulsion, inspiration… si l’on discute avec un neuroscientifique, un psychologue ou un guérisseur autoproclamé, les définitions et les frontières sont très floues. En synthèse de nombreuses conférences et, surtout, de nombreux témoignages, il apparaît que le changement ne soit pas lié à une privation, à une abstinence sans faille. Dans ces cas là, la rechute est très souvent constatée. Un effet durable n’a généralement pas demandé d’efforts importants. Ce qu’il en ressort de chaque personne, c’est une volonté ( plutôt que la ), une prise de conscience, une nouvelle raison, une façon de voir qui change le rapport et rend le chemin évident. Qu’est-ce qui permet cette étape ? Plusieurs facteurs : une rencontre, un ras le bol, l’acceptation plutôt que la lutte ou le déni… mais aussi un livre, un film, une chanson qui permet une autre façon de voir, de percevoir, de se percevoir. Il n’y a pas de bonne recette, vous êtes sûrement le meilleur des ingrédients. N’oubliez pas la touche du chef : un peu d’amour et de tolérance. Un livre pour finir: Christophe André : Imparfaits, libres et heureux Faites passer, ça fait du bien 😉 ! thierrymarchandhypnose.fr

Et le prix d’interprétation est décerné à….!?!?!?

Monsieur Cerveau !   Et oui, champion toute catégorie même. Nos capteurs, les yeux, les oreilles, la peau… fournissent des informations brutes, de simples influx nerveux à un centre de traitement. C’est là qu’une interprétation est faite. Une caméra voit mais c’est un ordinateur qui interprète les signaux donnés par l’optique. Et le moyen de reconnaissance est la comparaison. Quand je rencontre quelque chose pour la première fois je vais chercher dans ma mémoire, dans mes expériences ce qui ce rapproche de ce que je découvre.  Donc je reconnais par rapport à ce que je connais. Dès notre naissance l’apprentissage est en route pour appréhender le monde extérieur. Cet apprentissage se fait grâce aux capteurs et à  l’interprétation contextuelle. Interprétation qui servira aux prochaines expériences et ainsi de suite.  Donc je reconnais et je ressens ce que je vis en fonction d’expériences passées. C’est pourquoi  plusieurs personnes peuvent vivre des réalités très différentes en étant au même endroit et au même moment. Pour traiter l’anxiété par exemple, nous allons permettre au cerveau d’avoir d’autres éléments comparatifs plus rassurants en références. La ou les situations seront alors interprétées de façon moins anxiogène. En regardant la photo de l’écureuil, est-ce que je vois un Ninja à poil, un écureuil volant qui salue ou un super écureuil qui a une idée derrière la tête ? Façon de voir, de se voir. On se croit nul alors que notre entourage nous dit l’inverse. On croit mais à partir de quoi ? Je vous souhaite une bonne interprétation. Faites passer, ça fait du bien 😉 thierrymarchandhypnose.fr

Le passé présent.

C’est comme si c’était hier. On a une image mais surtout une sensation intacte, du moins nous semble-t-il, d’une action ou d’un événement. Peu importe la véracité, c’est ce que nous vivons qui fait foi. Un beau souvenir, une émotion forte de joie va nous porter, va nous aider pendant probablement toute notre vie. Mais quand l’impact est négatif, limitant il peut nous empêcher de vivre simplement notre vie, tout au long de notre vie…alors il sera possible de redéfinir ce qui appartient au passé pour ne pas le vivre aussi vivement au présent. C’est comme si ça c’était passé hier est un signe que l’émotion n’a pas pu vieillir, évoluer, maturer. Le cerveau n’a pas eu la possibilité de traiter les informations soit pris par surprise, soit dans un contexte inhabituel, soit  lors d’un événement traumatisant comme une agression. Comme un dossier inclassable, on ne comprend pas le rapport que l’on a à cette affaire. Le contenu comme les termes ne sont pas clairs et le tout reste en suspend. Une part de nous ressent de la honte ou de la colère ou étrangement les deux à la fois. Ce désaccord, ce contretemps dérange l’harmonie de notre quotidien. L’oreille du thérapeute entend ces dissonances, ces fautes d’accords. L’accompagnement consiste alors à comprendre, définir et redéfinir les difficultés à conjuguer les temps passé et présent pour ces émotions anachroniques. C’est comme si c’était hier, devient simplement, c’était hier. Côté lecture: La mémoire et les émotions : José Ramon Alonso Faites passer, ça fait du bien 😉 thierrymarchandhypnose.fr

Ces moi qui m’émeuvent 

je suis une femme ou un homme. Je suis une enfant ou un ado. Je peux être aussi une maman, un parent. Une épouse, un mari. Je suis une amie, un copain. Je suis toutes ces personnes dans ma personne. Quelques fois on peut se perdre dans ces différentes parts de soi et leurs attentes de la part des autres comme de nous-même.  Être soi en toutes circonstances serait plus simple mais pas toujours facile ou possible. Le cas extrême est le burn-out quand on a trop donné de sa personne. Bien sûr on peut traverser une vie sans rencontrer ce problème. Mais entre comment je pense que l’on me perçoit, comment j’aimerais que l’on me voit, comment je me vois, comment j’aimerais être…on peut se perdre de vue. Alors on se pose, on se repose, sur soi ou sur quelqu’un , on discute, on échange, on définit ce qui doit être fini. Et puis quand toutes les personnes de notre personne s’entendent et se sentent respectées que nos moi ne sont plus en émoi, tout est plus fluide et plus léger. Faites passer, ça fait du bien 😉! thierrymarchandhypnose.fr

Pas mal … ou bien ?!?!?

C’est une nuance c’est sûr mais quand vous avez préparé un plat et que l’on vous dit: hum, c’est pas mauvais ! Pourquoi ne pas avoir dit que c’était bon ? Je ne vais pas faire une analyse de votre invité ni de votre plat. Mais ce qui me paraît intéressant c’est notre vocabulaire. On peut exprimer les choses de tant de façons mais qu’est-ce qui fait que l’on choisisse tel ou tel mot, telle tournure de phrase, telle intonation…? Probablement un état d’esprit. Notre cerveau construit une réalité en fonction de ses perceptions, ses expériences et ses interprétations. Et de là ce que nous vivons est teinté plutôt de rose ou plutôt de noir, pour faire simple. Si je vous dis : torture ou vacances, ce ne sont que deux mots mais on ressent bien que chacun véhicule différentes sensations n’est-ce pas ?  En tant que thérapeute ces informations sont précieuses et subtiles à recevoir et à donner. Mais étant donné que nous les utilisons tous les jours, observons la couleur de nos expressions et usons des nuances infinies. Plutôt bien non ? Faites passer, ça fait du bien😉 thierrymarchandhypnose.fr

On se fait un cinoch ?!?!?

Confortablement installé dans un fauteuil moelleux vous êtes face à un grand écran où votre acteur préféré évolue dans une scène émouvante. Vous avez alors le cœur qui se serre et presque une petite larme qui se présente. C’est étonnant comme notre corps et notre esprit réagissent à des propositions, des stimulations. On sait que nous sommes dans une salle de cinéma, que cet acteur joue mais nous ressentons, nous vivons l’émotion. Les conditions sont évidemment créées pour, mais ça marche souvent et pour un grand nombre. Cette faculté de vivre «comme si » est utilisée en hypnothérapie et dans d’autres thérapies comme les simulations virtuelles. Dans le cas d’un traumatisme, d’une phobie ou d’anxiété l’hypnothérapeute créera un scénario personnalisé pour amener le cerveau de la personne à vivre ou revivre une scène difficile afin de pouvoir travailler sur les curseurs émotionnels. C’est comme au cinéma, dans un fauteuil moelleux, en sécurité.  Alors, on se fait un cinoch ? Faites passer, ça fait du bien 😉 thierrymarchandhypnose.fr

cliquez pour un rendez-vous